Le Pack Clé-Premier inclut des Bibles, des commentaires, dictionnaires, manuels, outils d’étude et des livres sur l’histoire, la théologie et l’édification chrétienne. La diversité des ressources fait de ce pack l’outil idéal pour l’étude de la Bible et de son message. Le nombre et la qualité des documents de ce pack en font une solide bibliothèque pour démarrer des études de la Bible. Cette collection unique en français est une ressource précieuse pour les étudiants, pasteurs/prêtres, catéchistes, enseignants et plus généralement toute personne qui désire approfondir son étude personnelle de la Bible.

Augustin d’Hippone (354-430), dit saint Augustin, est certainement le père de l’Église qui a le plus influencé la théologie, tant protestante que catholique ; il est donc aujourd’hui encore incontournable, pour qui veut comprendre l’histoire de la pensée chrétienne. Dans sa quête passionnée du mystère de la Divinité trinitaire, dans les parallèles qu’il essaie de tirer entre sa propre nature humaine et ce que l’Écriture nous révèle de Dieu, saint Augustin réussit à nous émouvoir et à nous entraîner dans ce désir qu’avait Moïse, qu’avait l’apôtre Paul : voir face à face, connaître comme il nous connaît, le Dieu qui est amour : Père, Fils et Saint Esprit.

Dans cette œuvre, Augustin enseigne sur le sujet de la relation entre la foi et la raison.

« Explication de quelques propositions de l'Épître aux Romains » enseigne que le plan de rédemption divin a progressé au travers de quatre périodes de l’histoire, chacune ayant ses propres dispositions. Cette œuvre anticipe donc le dispensationalisme moderne. A noter qu’ici, Augustin proposait que l’élection se faisait sur la base de la préscience divine de comment chaque individu se positionnerait envers Dieu. Augustin changea plus tard de point de vue sur cette question.

Cette œuvre s’adresse à la critique que la conception Augustinienne de la grâce supprime le libre arbitre. Selon Augustin, ce sont les défenseurs du libre arbitre qui portent atteinte à la grâce de Dieu.

Après l’attaque de Rome par les visigoths en 410 après Jésus-Christ, des membres du Sénat l’interprétèrent comme punition de leurs dieux à cause de la conversion de Rome au christianisme. Augustin leur répond que Rome a chuté à cause de sa corruption et ses péchés. Il développe ensuite et contraste la « cité de l’homme » et celle de « Dieu ». Cette œuvre monumentale est riche en réflexions sur le rapport entre l’Église et les gouvernements séculiers, mais aussi sur des questions fondamentales d’éthique et de valeurs morales. Ceci rappelle aux chrétiens où leur attachement premier doit se situer et comment ils devraient vivre dans ce monde.

Les Confessions, composées au cours des années 397-400, ont été l’un des livres de chevet de l’Occident. Autobiographie lyrique - la première d’une telle ampleur et d’un tel éclat - elles orchestrent une symphonie de thèmes dont les siècles successifs n’ont cessé de s’enchanter : l’inquiétude constitutive de l’homme, le poids de l’enfance, les orages de l’adolescence, la pression du passé sur le présent, la chaîne des habitudes, le vague des passions, les séductions des amitiés et des amours, les prestiges du théâtre, la présence originaire du mal, les profondeurs de la mémoire, le mystère du temps, l’errance spirituelle et la proximité de Dieu.

Commentaire d’Augustin sur les trois premiers chapitres de la Genèse. Plus développé que son commentaire contre les manichéens, il avance que la Genèse n’a pas pour intention de proposer une description scientifique de comment Dieu a créé le monde.

Œuvre écrite vers la fin de sa vie, Les Rétractations (lat. Retractationes) propose des corrections à ses livres précédents, selon la coutume des auteurs hellénistiques. Augustin y trouve l’occasion d’en faire également une entreprise autobiographique, littéraire et théologique. Son désir est que ce qu’il a écrit auparavant ne puisse induire en erreur ni ami ni opposant. La revue suit l’ordre chronologique de ses livres et n’inclue pas ses lettres et sermons. Elle démontre aussi la progression de sa pensée depuis ses premières œuvres. Un compagnon important à la lecture et l’analyse des œuvres d’Augustin.

Augustin a tellement insisté sur le salut par la foi sans les œuvres que l’on pourrait supposer que l’œuvre présente est à ce sujet. En fait, il y condamne des enseignements selon lesquels les œuvres ne sont pas essentiels pour obtenir la vie éternelle. Indispensable pour comprendre la pensée d’Augustin sur la relation entre foi, œuvres et salut.

Cette œuvre, en trois livres, provient d’un dialogue avec un interlocuteur anonyme. Le sujet central du livre n’est pas tant le libre arbitre qu’une apologie concernant Dieu et la présence du mal dans le monde qu’Il a créé. Dieu n’est pas responsable du mal perpétré par ses créatures de leur propre chef. Leur libre arbitre est nécessaire et indispensable. La question du péché originel et de sa transmission est également discutée mais pas vraiment élucidée en fin de compte.

Œuvre dans laquelle Augustin traite de la question du pédobaptisme en raison du péché originel et de la grâce divine.

Projet de commentaire détaillé sur l’épître aux Romains commencé par Augustin. Il s’est cependant découragé devant l’ampleur de la tâche et ayant abandonné, publia ce qu’il avait déjà fait.

Dans cette œuvre, Augustin compare les évangiles avec attention particulière aux contradictions apparentes. Il présente les sens qui, selon lui, harmonisent les récits évangéliques.

Traité d’Augustin sur la persévérance des saints. Comme beaucoup d’autres œuvres d’Augustin, cet exposé a joué un rôle important dans le développement de cette doctrine qui devient plus tard un article de foi fondamental dans les confessions de foi historiques de l’Église Réformée.

Discours d’Augustin qui exhorte à vivre une vie disciplinée et focalisée sur l’essence de la vie chrétienne. Le chrétien en tant que disciple se consacre aux paroles de son Maître pour faire bon usage de sa vie.

Défense d’Augustin de la prédestination et de la grâce contre les semi-pélagiens. Il soutient que non seulement l'accroissement, mais aussi le commencement même de la foi, est dans le don de Dieu. Les prédestinés sont appelés du fait de leur élection avant la fondation du monde et non-pas parce que Dieu savait d’avance qui croirait.

Commentaire d’Augustin sur les psaumes, sous forme de discours.

Quatre-vingt-trois Questions (De diversis quaestionibus) est un recueil de 83 questions diverses portant sur la théologie, la spiritualité et la philosophie. Certaines questions contiennent également des commentaires exégétiques. Le tout n’aspire pas à former un ensemble cohérent et homogène puisque ces questions et réponses ont été traitées en diverses occasions et rassemblées par l’auteur plus tard pour en faire un ouvrage publié.

Cet ouvrage tire son origine de questions posées à Augustin sur les Évangiles de Matthieu et de Luc. Il ne s’agit donc pas d’un commentaire systématique sur ces Évangiles, ni même d’un traitement complet de questions qui pourraient être jugées les plus importantes. Il s’agit de réponses à un nombre de questions précises telles qu’elles lui ont été posées sur des passages tirés de ces Évangiles.

Augustin écrivit les Soliloques (lat. Soliloquia) dans le but de découvrir par la raison, la vérité sur Dieu et l'âme. Le nom de l’œuvre reflète son arrangement sous forme de dialogue interne entre Augustin et sa raison. Le premier livre explore comment acquérir la sagesse. Le second livre, inachevé, est une réflexion soutenue sur le thème de l'immortalité de l'âme.

Les Annotations sur le livre de Job (lat. Adnotationes in Iob) sont un ensemble de notes diverses sur le livre de Job.

Le seul commentaire complet d'Augustin qui ne soit pas homilétique. Il fut écrit après un temps d'étude consacré aux écrits de Paul. Augustin s'applique à interpréter Paul par Paul, se référant tout particulièrement à l'épître aux Romains. La correction des errances de ceux qui sont dans la foi est un thème important de ce commentaire.

Dans cette œuvre, Augustin analyse la question de l’existence d’un ordre providentiel dans la nature, la destinée des êtres humains et dans l’univers. Pour l’auteur, ce sujet est étroitement lié à celui de l’origine du mal.

Saint Augustin prouve que c'est aux Manichéens une témérité sacrilège de blâmer ceux qui, suivant l'autorité de la foi catholique, se préparent à l'intelligence des mystères, en croyant ce qu'ils ne peuvent encore comprendre. - Il montre, en particulier, que c'est bien à tort que ces sectaires critiquent l'Ancien Testament.

Dans cette œuvre, Augustin présente quatre-vingt-huit hérésies qui sont apparues depuis la venue du Christ jusqu’à son propre temps.

Œuvre théologique en quatre livres dans laquelle Augustin explique comment interpréter et enseigner et prêcher les Écritures.

Œuvre qui développe plusieurs articles du symbole des apôtres. Une attention toute particulière est portée au sujet de la Trinité.

Probablement un sermon à l’origine, cette œuvre a pour objectif de démontrer que la foi chrétienne n’est pas contraire à la raison.

Commentaire d’Augustine portant sur les trois premiers chapitres de la Genèse et utilisant une interprétation allégorique.